Suite Ă l’annonce de l’ouverture de 2 nouveaux pays que sont l’Allemagne et les Pays-Bas, Olivier Goy, fondateur de la plateforme de prĂŞt Lendix, Ă©tait l’invitĂ© d’Hedwige Chevrillon dans L’Heure H sur BFM Business ce mardi 13 fĂ©vrier. 23 minutes dĂ©diĂ©es Ă la naissance des fintechs, aux PME, Ă leurs financements et Ă l’expansion gĂ©ographique de Lendix. Retrouvez un verbatim de l’Ă©mission que vous pouvez dĂ©couvrir en intĂ©gralitĂ© ici
« Ce que Lendix fait est utile : lorsque des particuliers prĂŞtent aux projets et placent leur Ă©pargne, ils font une action concrète, ils financent des entreprises, de l’emploi et permettent la croissance. »Â
« Avoir Alain Ducasse Entreprise comme premier Emprunteur a servi Ă tordre le cou Ă l’idĂ©e prĂ©conçue qui laissait dire que seules les entreprises dĂ©sespĂ©rĂ©es faisaient appel aux plateformes de prĂŞt. »
« La banque a un gros point fort, elle prĂŞte aujourd’hui Ă des taux très bas. Son point faible, c’est le poids de l’Histoire, le fait d’avoir des process de crĂ©dit anciens »
« La technologie nous fait faire d’Ă©normes gains de productivitĂ© et nous rend notamment capable de donner une dĂ©cision ferme en 48 heures, sans nĂ©gliger la qualitĂ©, mais en gagnant en rapiditĂ©. »
« Il faut trouver le bon rythme : un taux de croissance très fort et un taux de défaut inférieur à 1%. »
« Lendix se dĂ©veloppe car elle rĂ©pond Ă un besoin des PME qui n’est pas pleinement satisfait. »
« On a un problème de poule et d’oeuf, classique des places de marchĂ© : il faut que l’on recrute Ă la fois des PrĂŞteurs et des Emprunteurs. »
« La flat tax a un vrai effet sur l’investissement des PME. »
« On ne veut ni racheter, ni être racheté, Lendix sera une marque dans 10 ans. »