« Olivier Goy, la démocratie de la finance » par The Good Life Magazine

Capture d’écran 2016-04-25 à 11.04.57

Le magazine The Good Life a dressé un portrait de Lendix dans son numéro d’avril 2016, portrait rédigé par Laura Cordin.

« Les banques voient le monde en noir, ou en blanc. Nous, chez ­Lendix, on le voit en gris ! » lance Olivier Goy d’entrée de jeu.

Gris, c’est la couleur attractive de ces entreprises, dont le profil financier les positionne à mi-distance entre ces PME et ETI (entreprises de tailles intermédiaires), classées « blanches » par les banques, c’est-à-dire viables et blindées de garanties, et les autres, toutes les autres, qui, à défaut d’être cautionnées, se voient refuser l’accès au prêt.

« Les banques mettent en moyenne de un à trois mois pour dire “oui” à une autorisation de prêt à 2 % pour lequel elles prennent ceinture et bretelles. Chez Lendix, on dit “oui” en 15 jours, avec une prise de risque assumée, sans caution personnelle, mais à un taux aux alentours de 5 %. »

Lire la suite de l’article